La recherche d’une carence en fer s’effectue en présence d’une anémie ou de symptômes attribuables à une carence en fer sans anémie. Le clinicien se trouve face à une affection simple et facile à traiter, sous réserve d’un diagnostic correct. De nombreux tests biologiques sont disponibles, mais leur interprétation est souvent malaisée. Des facteurs préanalytiques interfèrent dans les dosages, les normes varient selon le fournisseur et, surtout, les résultats des différents marqueurs sont trop souvent contradictoires dans certains contextes cliniques. Le but de cet article est de déterminer comment l’évolution des connaissances scientifiques et cliniques permet de mieux comprendre et rationaliser la démarche diagnostique de la carence en fer.
Le syndrome des jambes sans repos (SJSR) est une affection chronique, fréquente, occasionnant des symptômes d’inconfort prédominant aux membres inférieurs et donnant une envie irrésistible de les bouger. Le SJSR est associé fréquemment à des troubles du sommeil, voire de l’humeur, provoquant un impact non négligeable sur la qualité de vie. Le diagnostic se fait à l’aide de quatre critères cliniques.
Le traitement comprend la prise en charge des facteurs réversibles, puis s’oriente vers une thérapie symptomatique. Selon l’échelle de sévérité, on initie des mesures non médicamenteuses, puis des agonistes dopaminergiques. En deuxième intention, il est possible d’avoir recours à la gabapentine, à des benzodiazépines, voire à des opiacés. Un avis spécialisé est indiqué en cas de prise en charge thérapeutique difficile.
Les scapulalgies ou omalgies sont une plainte fréquente, dont plus de la moitié sont liées à une lésion de la coiffe des rotateurs. Etant donné la tendance à la chronicité de ces douleurs, elles entraînent un absentéisme et des coûts de la santé élevés.
Parmi les pathologies à l’origine des omalgies, certaines sont post-traumatiques, d’autres intrinsèques à l’épaule, d’autres, enfin, extrinsèques. Ce sont ces dernières, relevant des systèmes neurologique, cardio-vasculaire, pulmonaire ou encore abdominal, qu’il convient d’identifier rapidement car leur prise en charge représente souvent une urgence.
Une grande partie des douleurs d’épaule intrinsèques répondent à un traitement conservateur. Les principaux facteurs de mauvais pronostic sont liés à l’âge, au sexe féminin et à des cervicalgies associées.
Cet article propose une mise à jour des recommandations pour le bilan de santé et la prévention primaire et secondaire de nombreuses maladies cardio-vasculaires et oncologiques. Les nouveautés pour le dépistage des cancers concernent essentiellement les cancers colorectal, du poumon et de la prostate. Pour la prévention des maladies cardio-vasculaires, le dépistage de la sténose de l’artère carotidienne n’est toujours pas recommandé. Les preuves de la littérature sont insuffisantes pour recommander le dépistage de l’artériopathie coronarienne ou périphérique chez les patients asymptomatiques. Le partage de l’information et de la décision entre le médecin et le patient est à privilégier lorsqu’il existe une incertitude quant à l’efficacité d’une intervention.
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